Pierre-Edouard Stérin : "Je préfère confesser mes péchés à Dieu plutôt qu'à une commission d'enquête"

Publié le 15/05/2025
Pierre-Edouard Stérin :

Dans une déclaration qui a suscité l'admiration des fervents défenseurs de la foi et des partisans d'une transparence administrative, Pierre-Edouard Stérin a récemment affirmé :

« Je préfère confesser mes péchés à Dieu plutôt qu'à une commission d'enquête »
. Ce choix audacieux de la part de l'homme d'affaires, connu pour sa fortune colossale acquise grâce à son entreprise de coffrets cadeaux, souligne une tendance croissante parmi les élites à privilégier la confession religieuse sur les obligations civiques. Un phénomène qui pourrait bien être le fruit d'une stratégie de communication inédite, visant à réconcilier les instances divines et la bureaucratie publique.

Une nouvelle ère de la pénitence administrative

Cette déclaration a été accueillie avec un mélange d'étonnement et de respect par les membres de la commission d’enquête, qui s'interrogent désormais sur la possibilité d'organiser des séances de confession publique. L'idée d'une « messe pour les élus » a été évoquée, où les responsables politiques pourraient avouer leurs méfaits devant une assemblée de fidèles, renforçant ainsi le lien entre la spiritualité et la vie publique. « Pourquoi s'encombrer d'un cadre légal lorsque la grâce divine est à portée de main ? », a déclaré le théologien et expert en politique sacrée, le Révérend Jean-Michel Bonheur.

Les statistiques montrent également que 87% des membres de l'Assemblée nationale préfèrent invoquer des motifs spirituels pour éviter d'apparaître devant une commission d'enquête. Un récent sondage mené par l'institut de recherche « Divine Opinion » a révélé que 64% des Français estiment que la confession devrait remplacer les procédures d'audition. Un choix qui, selon les experts, pourrait apporter une sérénité inédite aux débats parlementaires, en transformant les sessions en véritables retraites spirituelles.

La sécurité divine avant tout

En réponse aux critiques concernant son refus d'assister à la commission, Stérin a souligné des « raisons de sécurité » évoquant des menaces d'origine mystique, un tournant qui ouvre la voie à des discussions sur l'instauration d'un « passeport spirituel ». Ce document permettrait aux citoyens de se soustraire à l'obligation de comparaître devant des instances civiles en cas de conflits d'ordre religieux ou eschatologique. Le président de la commission, Thomas Cazenave, a réagi en promettant d'étudier cette proposition, tout en insistant sur le fait que « la sécurité des élus est parfaitement assurée dans l'enceinte de l'Assemblée, même en cas de jugement dernier ».

Des experts en gestion des crises religieuses, comme le Dr. Lucien Croyance, ont déjà commencé à élaborer des protocoles pour garantir la sécurité des élus en cas de confession publique. « Nous envisageons des mesures telles que des sanctuaires mobiles et des chapelles d'urgence pour accueillir les confessions en toute sérénité », a-t-il déclaré, soulignant l'importance d'un cadre légal adapté à cette nouvelle ère de la pénitence administrative.

Un avenir guidé par la foi et la finance

Alors que le projet « Périclès » de Stérin continue de soulever des questions quant à son impact sur la vie politique française, l'idée d'une collaboration entre divinité et finance semble séduire de plus en plus de leaders. « À quoi bon respecter les lois humaines si nous sommes déjà sous le regard bienveillant de Dieu ? », a conclu un membre anonyme de la commission, tout en prédisant une « élévation spirituelle » des débats politiques.

Ainsi, l'affrontement entre les obligations civiques et le droit à la confession prend un tournant inattendu, et il est fort probable que, dans un avenir proche, les convocations devant les commissions d'enquête soient remplacées par des retraites spirituelles collectives, où le péché et la politique ne feront plus qu'un. Le tout, bien entendu, sous l'œil bienveillant d'une commission d'enquête divine.

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