Les 'signaleurs de confiance' de Bruxelles ont récemment été célébrés pour une avancée inédite dans leur lutte contre l'humour sur Internet. En effet, après des mois de délibérations, ils ont réussi à supprimer le dernier mème considéré comme "drôle", laissant les utilisateurs de la toile dans un état de choc et de consternation. Selon des sources internes à l’Union Européenne, cette décision s'inscrit dans un effort plus large de lutte contre des contenus jugés "trop divertissants" et donc potentiellement dangereux pour la santé mentale des citoyens européens.
Une mesure saluée par les experts
Les experts en communication humoristique, regroupés au sein du Comité d’Évaluation des Risques Humoristiques (C.E.R.H.), ont unanimement applaudi cette initiative. Le Dr. Hervé Blague, président du comité, a déclaré :
« La suppression de ce dernier mème est une victoire décisive dans la lutte contre le rire incontrôlé. Nous devons protéger nos concitoyens des effets délétères d’un humour jugé inapproprié. »Dans une étude récente, 97 % des experts en psychologie sociale ont affirmé que l’humour était la première cause de distraction au travail, entraînant une baisse de productivité de 150 %.
Des citoyens, pourtant sceptiques au départ, semblent désormais embrasser ce nouveau paradigme. Marie Dupont, une utilisatrice assidue des réseaux sociaux, a commenté :
« Je me sens plus sereine depuis que l’on a éliminé ce mème. Je passe moins de temps à rire et plus de temps à réfléchir sur des sujets de grande importance, comme la couleur de mes chaussettes. »Des témoignages similaires affluent, témoignant d'un changement de mentalité radical dans la population.
De nouvelles réglementations en préparation
En réponse à ces événements, la Commission Européenne a annoncé la création d’un nouveau règlement : le Règlement Européen sur la Régulation de l'Humour Inapproprié (R.E.R.H.I.). Ce texte, qui devrait entrer en vigueur d’ici la fin de l’année, vise à créer un cadre légal pour l’évaluation et la suppression de tout contenu humoristique jugé trop léger. Un groupe de travail composé de 300 bureaucrates sera chargé de surveiller les mèmes, GIFs et autres contenus susceptibles de provoquer des rires inappropriés.
Le porte-parole de la Commission, Monsieur Jean-Sébastien Pénible, a précisé :
« Nous devons garantir que l’Internet soit un endroit sûr, où l’on peut naviguer sans être exposé à des sourires involontaires. Nous engageons à protéger nos enfants d’un humour corrosif qui pourrait les déstabiliser. »Les parents sont invités à signaler tout contenu humoristique qu'ils jugent inapproprié au nouveau numéro vert mis en place à cet effet.
Un avenir sans rires
Dans un effort pour instaurer un climat de sérieux sur la toile, les signaleurs de confiance envisagent également la création d'un réseau de surveillants de l’humour, chargés de veiller à ce que les citoyens ne s'écartent pas des normes établies. Le projet pilote, baptisé "Humour Zéro", devrait être lancé dans plusieurs pays membres de l’UE, avec l’objectif d’éliminer toute forme de rire d'ici 2025.
Alors que le monde entier continue de tourner à une vitesse vertigineuse, Bruxelles se démarque en prenant des mesures audacieuses pour garantir que l’humour n’entrave pas le progrès. Les signaleurs de confiance, véritables sentinelles d’un Internet sobre et austère, méritent d’être félicités pour leur dévouement indéfectible à cette noble cause. Qui aurait cru que la fin des mèmes drôles serait le début d'une ère de sérieux sans précédent ?