Mustapha El Atrassi : "Le temps qu'on perd à s'insulter entre Marocains et Algériens, c'est du temps perdu pour frapper sa femme

Publié le 27/05/2025
Mustapha El Atrassi :

Mustapha El Atrassi, humoriste émérite et figure emblématique de la scène comique francophone, a récemment déclaré que le temps perdu à s'insulter entre Marocains et Algériens est un véritable fléau. En effet, selon lui, ce temps pourrait être utilisé de manière bien plus productive, notamment pour "frapper sa femme", une activité qu'il considère comme une tradition culturelle à ne pas négliger. Cette déclaration, bien qu’étonnante, ouvre un débat fondamental sur les priorités sociétales de nos jours.

Une vision éclairée des priorités culturelles

Dans un contexte où la violence domestique est un sujet sensible, Mustapha El Atrassi remet les pendules à l'heure avec une approche pragmatique. "Pourquoi passer des heures à se chamailler sur des origines ethniques alors qu'on pourrait consacrer ce temps à des activités de couple?" s'interroge-t-il. Ce raisonnement a suscité l’intérêt de nombreux sociologues, dont le Dr. Ahmed Boumouh, qui s'est penché sur cette problématique dans une étude approfondie : "Les insultes entre Marocains et Algériens sont non seulement contre-productives, mais elles empêchent une véritable avancée dans le domaine des violences conjugales." Une révélation qui pourrait bien transformer notre manière de voir les conflits régionaux.

Le soutien inattendu des institutions

Les autorités, quant à elles, semblent prendre cette question très au sérieux. La mise en place d'un comité intergouvernemental pour étudier l'impact des disputes ethniques sur le taux de violences domestiques est en cours. Ce comité, baptisé "Comité de Réconciliation et de Coups de Poing" (CRCP), s'est vu confier la mission d’élaborer des recommandations pour réduire les insultes entre les communautés tout en favorisant des méthodes de résolution de conflits plus... physiques. Un membre anonyme du CRCP a confié : "Il est temps de réinventer le dialogue, et quoi de mieux qu'une bonne claque pour renforcer les liens familiaux?"

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : selon une étude de l'Institut National des Comportements Inhabituels (INCI), 73% des personnes interrogées estiment que les disputes interethniques sont une distraction inutile, et qu'un coup de poing bien placé pourrait renforcer les relations. "Il faut savoir faire preuve de pragmatisme", déclare le chercheur, qui préfère rester anonyme pour des raisons évidentes de sécurité.

Réactions de la société civile

Les réactions du grand public ne se sont pas fait attendre. Un groupe d'hommes en colère a même organisé une manifestation sous le slogan "Frappez, ne discutez pas!". Les participants, munis de pancartes colorées, ont exprimé leur mécontentement face aux "insultes inutiles" qui, selon eux, prennent trop de temps. "Nous avons besoin de passer à l’action, pas de discuter", a clamé l'un des manifestants, les bras croisés et un regard déterminé.

Dans ce climat de tension, certains experts en relations internationales plaident pour une approche unifiée. "Il serait judicieux d'organiser des tournois de boxe interethniques, où les Marocains et les Algériens pourraient s'affronter dans un esprit de camaraderie et d'honneur, tout en évitant les insultes", propose le professeur Mohammed Bouffon. Une idée qui pourrait redéfinir les relations entre les deux pays et instaurer une paix durable, au moins jusqu’au prochain match de football.

Il semble donc que la question du temps perdu à s'insulter soit bien plus complexe qu'elle n’y paraît. En fin de compte, comme le souligne Mustapha El Atrassi, "le temps est précieux, utilisons-le judicieusement." Cette réflexion pourrait bien inciter les citoyens à reconsidérer leurs priorités et à adopter une approche plus… directe dans leurs relations interpersonnelles.

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